dimanche 29 mars 2009

La domotique

Définition :
La domotique est une spécialité du bâtiment regroupant les techniques permettant de contrôler, d'automatiser et de programmer l'habitat.
C'est une discipline récente issue de l'application à l'habitat de la programmation informatique.Le mot "domotique" est utilisé depuis peu dans le language et est une contraction des mots domus (domicile en latin) et du suffixe "tique" associé à la technique.Les tâches associées à la domotique dans la maison concernent des appareils techniques alimentés électriquement:
la programmation des appareils électriques (éclairage, chauffage, audio-visuel, électro-ménager...)
Le contrôle (alarme, contrôle d'accès, température, éclairage, incendie...)

Les principes:



Le principe de la domotique est de programmer et contrôler à distance ou localement le comportement d'appareils que l'on aura intégrés dans un réseau.
source EIBA
Le réseau qui peut être câblé ou sans fil est destiné à recevoir et émettre des informations entre les unités de commande et les appareils commandés.
L'information circule dans les deux sens sur le réseau : Une unité de commande envoie des informations aux récepteurs chargés de faire effectuer une tâche précise à des appareils qui eux-même envoient vers la ou les unités de commande des informations concernant leur état.
Les informations échangées entre les différents appareils sur un réseau domotique communiquent en respectant un langage appelé protocole.Certains réseaux domotiques nécessitent des interfaces appelées passerelles chargées de faire communiquer des appareils qui communiquent via des protocoles différents (ce sont en quelque sorte des traducteurs).

Réchauffement climatique!

Le réchauffement climatique


Le réchauffement climatique tant annoncé pourrait bien avoir lieu. Cette question semblait faire l’unanimité parmi les centaines d’experts du monde entier réunis lors du Comité intergouvernemental des Nations unies sur les changements climatiques (IPCC) le 19 février 2001.La température de l’air a en effet augmenté en moyenne de 0,6°Celsius au cours du XXe siècle. Cela peut sembler très faible et pourtant : seulement 7°Celsius séparaient la période glaciaire qu’a connue notre planète il y a 20 000 ans, de celle plus chaude qu’elle a connue il y a 7000 ans ! Les premières conséquences de ce réchauffement sont déjà visibles : diminution de 10 % de la couverture neigeuse dans l’hémisphère Nord depuis les années 1960, recul des placiers de montagne, élévation de 10 à 20 centimètres du niveau des océans au cours du XXe siècle, augmentation des précipitations, des inondations ou des sécheresses, dégel du pergélisol…Aujourd’hui, quasiment tous les scientifiques s’accordent à imputer l’essentiel de cette évolution sur les dernières décennies du XXe siècle aux gaz à effet de serre produits par les activités humaines. Le principal responsable est le gaz carbonique qui représente 70 % des émissions, puis vient le méthane. Leur concentration dans l’atmosphère n’arrête pas d’augmenter depuis le début de l’ère industrielle : depuis 1750, la concentration en gaz carbonique a augmenté de 31 % et celle en méthane de 150 %. Une partie de ces gaz reste dans l’atmosphère et le reste est absorbé par les océans et les végétaux.Si aujourd’hui, l’état des connaissances scientifiques et les modèles utilisés par les climatologues ne permettent pas de faire de prédictions fines à l’échelle régionale, ils permettent de prédire globalement à l’échelle de la planète les grandes évolutions auxquelles il faut s’attendre. Or, les prévisions sont alarmistes : un réchauffement de 1,4 à 5,8°Celsius est en effet prévu d’ici à la fin du XXIe siècle, la plus forte augmentation qu’aura connue la Terre depuis environ 10 000 ans.
Mais ne nous y trompons pas. Notre planète sera plus chaude mais deviendrait aussi plus humide. Les modèles prévoient que la nouvelle répartition des pluies accentuerait encore les inégalités existantes : les régions équatoriales recevraient plus d’eau, contrairement aux régions subtropicales et méditerranéennes dont la sécheresse augmenterait et dont les ressources hydriques diminueraient. Finalement, les pays les plus fragiles vis-à-vis de leurs ressources en eau le deviendraient encore davantage.En outre, les scientifiques prévoient d’ici à 2100 la fonte partielle ou totale des glaciers, 98 % d’entre eux étant actuellement en régression., et une élévation moyenne du niveau des océans comprise entre 9 et 88 centimètres.Si rien n’est fait, certaines modifications pourraient devenir irréversibles au-delà de la deuxième moitié du XXIe siècle. Le seul moyen de freiner cette évolution est de réduire les émissions des gaz à effet de serre.

L'effet de serre

L’effet de serre est souvent hâtivement désigné comme responsable du réchauffement climatique. En réalité, l’effet de serre est un phénomène naturel lié à la présence de gaz atmosphériques, tels que le dioxyde de carbone, le méthane. qui piègent le rayonnement infrarouge émis par la Terre. Cet effet de serre permet à l’atmosphère de se maintenir à une température moyenne de 15°C et sans lui, la température moyenne de la Terre serait de l’ordre de - 18°C !Pour en savoir plus sur l’effet de serre, une animation et des explications sur le site du Commissariat à l’Energie Atomique :http://www.cea.fr/fr/pedagogie/EffetDeSerre/index.htm
Ce qui inquiète actuellement la communauté scientifique est le constat d’une augmentation continue de la concentration des gaz à effet de serre, et le fait que cet accroissement résulte des activités humaines. En effet, le dioxyde de carbone est produit en très grande quantité lors de la combustion des hydrocarbures qui constituent l’essentiel des carburants utilisés dans les centrales thermiques, pour les transports routiers, aériens et maritimes.C’est cet effet de serre additionnel induit par les activités humaines qui est responsable du réchauffement climatique observé depuis quelques années. Ceci a conduit les scientifiques à estimer qu’il y a « une influence perceptible de l’homme sur le climat global ».


http://www.science.gouv.fr/fr/dossiers/bdd/res/2148/le-rechauffement-climatique/

La domotique et l'environnement!

Domotique et environnement [modifier]
La domotique peut constituer un outil de respect de l'environnement par la maîtrise de la consommation énergétiques de l’habitat. Les nouvelles normes en matière de construction imposent une gestion de l’énergie. Ainsi, par exemple, il deviendra obligatoire de couper le chauffage lorsque l’on ouvre une fenêtre[réf. nécessaire]. L'éclairage d’une pièce peut aussi fonctionner selon la présence ou non d’un individu.
Un groupe japonais, le Sekisui Chemical Group, vend déjà des « logements avec zéro frais d’électricité et de chauffage »[1]. L'Allemagne est aussi précurseur dans ce domaine avec de nombreux modèles de maisons passives (Passivhaus) notamment dans la région de la Bavière[réf. nécessaire].
En 2008, dans une maison ordinaire (de taille moyenne), l'installation électrique coûte environ 9 000 € à 15 000 €, pour une installation classique[réf. nécessaire].
Dans cette même maison, une installation des techniques de la domotique coûtera 14 000 € à 23 000 €. La différence (5 000 € à 8 000 €) sera amortie par la suite, grâce aux économies réalisées[réf. nécessaire].
Environ 60 % du coût provient de la partie électrique (main d’œuvre électricien, nombres d’éléments lumineux, nombre de capteurs, …) et environ 40 % du coût de la partie chauffage (nombre de pièces à chauffer, nombre de radiateurs,…)[réf. nécessaire].
L’aménagement d’une maison par la domotique s’élève à 19 000 €, alors que l’équipement d’une maison traditionnelle ne revient qu’à 13 000 €. Mais, compte tenu de l’économie d’énergie procurée par la domotique, le surcoût d’investissement serait rapidement compensé (en 6 ans)[réf. nécessaire
Greenpeace

METTONS LES TOXIQUES HORS-LA-LOI !

100 000 substances chimiques sont commercialisées en Europe. Or pour 99% d'entre elles, nous n'avons aucune idée de leurs effets sur la santé et l'environnement. Certaines molécules, dangereuses sont présentes dans nos produits de consommation. L’ignorance et l'irresponsabilité ont dominé ces cinquante dernières années. Résultat : on retrouve aujourd'hui des substances chimiques industrielles dans l'écosystème le plus reculé... Jusqu'au corps humain, si bien qu'aujourd'hui les enfants naissent pollués ! Cette pollution invisible participe à la croissance de nombreuses maladies chroniques telles que certains cancers ou les troubles de la reproduction.Après plusieurs années de bras de fer avec le lobby de l’industrie chimique, la réforme Reach, un nouveau cadre européen pour la commercialisation des produits et substances chimiques est entré en vigueur le 1er juin 2006. Environ 30 000 substances chimiques doivent être évaluées dans les quinze prochaines années. Certaines substances dangereuses ne pourront plus être autorisées, c’est le « principe de substitution » pour lequel se sont battus ensemble associations et syndicats. La réglementation Reach est pleine de lacunes. Néanmoins, elle ouvre une nouvelle ère de précaution dans la gestion des produits chimiques.La campagne Toxic Tech poursuit le travail engagé sur Reach. Sur le secteur de pointe de l’électronique, il s’agit de stimuler et mettre en application concrète le principe de substitution. Greenpeace est convaincue que les fabricants ne développeront des efforts significatifs d’écoconception que lorsqu’ils endosseront individuellement la responsabilité financière des impacts sanitaires et environnementaux des produits de leurs propres marques. La « responsabilité individuelle du producteur » doit, à l’instar de Reach et de la substitution, devenir la norme internationale. Notre classement trimestriel des grandes multinationales de l’électronique œuvre dans cette direction.

http://www.greenpeace.org/france/vigitox/

joyeuses Pâques


Traditions populaires de Pâques

Dans les pays chrétiens, l’œuf de Pâques est le cadeau favori le jour de Pâques.
En Allemagne, en Suisse, en Autriche, en France dans la région d'Alsace, le département de la Moselle ainsi qu'en Martinique, Guyane et Guadeloupe, le lundi de Pâques s'accompagne d'un autre jour férié : le « Karfreitag », soit le Vendredi saint. Pâques y est considéré comme une sorte de deuxième Noël et il n'est pas rare que les gens s'offrent des cadeaux entre eux à cette occasion.
En Alsace, on confectionne un biscuit en forme d’agneau appelé « Osterlammele » ou « Lamala ». Cette tradition typiquement alsacienne du « Lammele » est attestée par le théologien catholique Thomas Murner en 1519 : le fiancé offrait un agneau pascal à sa promise. On l’offrait aussi aux enfants au retour de la messe du jour de Pâques. Après le temps du Carême, ce biscuit riche en œufs permettait d’écouler le stock d’œufs accumulé avant Pâques et dont la consommation est proscrite. L’agneau était décoré d'un étendard aux couleurs du Vatican (jaune et blanc) ou de l’Alsace (rouge et blanc).
Comme pour Noël, les Suisses et les Allemands décorent leur maison à l'approche de Pâques. Les œufs de Pâques sont apportés par le lièvre de Pâques (Osterhase). Chocolats et décorations diverses, souvent en forme de lapin, ornent ainsi les boutiques et les appartements. On y fait aussi des bouquets de Pâques sur lesquels on accroche divers sujets et des œufs peints. Les arbres dans les jardins ont droit également à une parure multicolore avec l'arrivée du printemps, les œufs et lapins poussent partout !
Les Allemands, comme les Américains, décorent des oeufs cuits durs avec de la peinture ou des feutres.
Les Américains espèrent que l’« Easter Bunny » leur apportera des lapins en chocolat et des sucreries dans un panier tressé.
En Belgique et en France, ce sont les cloches de Pâques qui apportent les œufs de Pâques. Depuis le jeudi saint, les cloches sont silencieuses, en signe de deuil. On dit qu'elles sont parties pour Rome, et elles reviennent le jour de Pâques en ramenant des œufs qu'elles sèment à leur passage.
En Italie, on attache les cloches le jour du jeudi-saint pour éviter qu'elles ne sonnent.
En Allemagne et en France, le repas de Pâques est souvent l'occasion de partager un gigot d'agneau rôti accompagné de flageolets.
En Pologne, un panier garni est préparé le vendredi, conservé sans être mangé le samedi, et bénit le dimanche par le prêtre.
En France et surtout au Québec, certains mythes populaires parlent de la cueillette de l'Eau de Pâques.
En Serbie, il y a beaucoup de rites qui plaisent aux enfants en particulier.
On colorie les œufs pour cette journée, essentiellement en rouge, mais on utilise aussi d'autres couleurs.
On s'échange ces œufs coloriés, pendant toutes les fêtes de Pâques et la semaine qui suit.
On considère que le premier œuf peint est le gardien de la maison et on le conserve.
La Pâques orthodoxe véhicule aussi une autre tradition, très populaire. Une fois les œufs coloriés ou peint, on peut choisir un œuf et le décréter comme son œuf porte-bonheur. Cet œuf servira a toquer l'œuf d'une autre personne. Si jamais votre œuf et brisé lorsque vous toquez l'œuf de « votre adversaire » vous remportez son œuf, si c'est le contraire, alors vous perdez votre œuf au profit du vainqueur, il ne vous reste alors plus qu'à choisir un nouvel œuf.
Pendant cette journée les chrétiens orthodoxes se saluent par l’exclamation « Christ est ressuscité ! » Христос васкрсе, en serbe cyrillique à laquelle on répond « Il est vraiment ressuscité ! » en cyrillique Ваистину васкрсе.
En République tchèque, les jeunes filles colorent les oeufs durs. Elles utilisent également de la cire qu' elle mettent autour de l' oeuf qui une fois l'oeuf coloré , la cire enlevée créee des motifs. Les garçons tressent avec des roseaux et des rubans colorés des fouets. Le lundi de Pâques, les garçons font le tour de leur voisinage pour "fouetter" les jeunes filles et leur demander des oeufs, à défaut un verre d'alcool.
Pâques a donné naissance au prénom Pascal.

Pâques

C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien. Il marque la fin du jeûne du Carême.
« Pâque », de l'hébreu פסח Pessa'h « il passa [par dessus] » d'où « passage », est le nom de la fête juive qui commémore la sortie d'Égypte. D'après les Évangiles, c'est pendant cette fête juive[2] qu'eut lieu la résurrection de Jésus ; c'est pourquoi le nom a été repris pour désigner la fête chrétienne. Le mot hébreu donne en latin Pascha dont dérive le mot français après amuïssement du s et remplacement de as par un â avec un accent circomflexe.
La forme « Pâque orthodoxe » est utilisée pour désigner cette fête dans les Églises orthodoxes. Pour les autres Églises, cette forme est vieillie et la forme avec « s » lui est préférée.

Date

Pâques et les fêtes qui y sont liées se déroulent à des dates variables du calendrier grégorien (qui suit le mouvement du soleil et les saisons). Les dates contemporaines de Pâques sont les dimanches 23 mars 2008, 12 avril 2009 et 4 avril 2010 du calendrier grégorien. En fait, elles sont basées sur le calendrier lunaire, comme celui utilisé par les Juifs pour fixer notamment la date de la Pâque juive.
Après le Ier concile de Nicée en 325, il fut décidé que le calcul de la date de Pâques se ferait selon une règle fixe. Ainsi, Pâques est célébrée le dimanche après le 14e jour du premier mois lunaire du printemps. Donc le dimanche après la première pleine lune advenant pendant ou après l'équinoxe de printemps. Dans la pratique, il est plus simple de revenir aux origines : Pâques correspond au premier dimanche qui suit la première pleine lune de Printemps. En revanche, la date peut varier suivant la longitude de la ville où l'on effectue l'observation. Les catholiques choisissent Rome.
Finalement, toutes les églises acceptèrent la méthode d'Alexandrie qui place l'équinoxe de printemps dans l'hémisphère Nord le 21 mars (alors que le vrai peut intervenir un ou deux jours avant ou après).
Un problème, apparu plus tard, est la différence des pratiques entre les églises occidentales et les églises orthodoxes. Les premières adoptent le calendrier grégorien pour calculer la date de Pâques, alors que les dernières utilisent toujours le calendrier julien originel. Le Conseil œcuménique des Églises proposa une réforme de la méthode de détermination de la date de Pâques lors d'un sommet à Alep (Syrie), en 1997. Cette réforme aurait permis d'éliminer les différences de dates entre église occidentales et orientales ; elle devait entrer en application en 2001, mais échoua.
Le calcul de la date de Pâques est assez complexe et connu sous le nom de Comput. Il existe des tables traditionnelles, mais aussi des algorithmes plus mathématiques pour la retrouver. La première méthode développée par Carl Friedrich Gauss avait quelques erreurs : en 1954 (la formule donnait le 25 avril au lieu du 18 avril) et en 1981 (le 26 au lieu du 19 avril). De nombreux autres mathématiciens ont depuis développé d'autres formules. Voir des calculs détaillés dans l'article du calcul de la date de Pâques.
Les deux jours de Pâques (le dimanche et le lundi) sont reconnus comme jours fériés par la plupart des pays de tradition chrétienne, excepté aux États-Unis où Pâques est célébrée seulement le dimanche de Pâques et non pas aussi le lundi de Pâques, en revanche, le vendredi saint y est férié. En France par exemple, le lundi de Pâques est férié depuis la loi du 8 mars 1886. Dans les départements de l'Alsace et en Moselle le vendredi saint, qui précède le dimanche de pâques est également férié.

Symbolique

La lumière
Pour les chrétiens, le symbolisme de la lumière de Pâques a un sens cosmique. La référence à l'équinoxe et à la pleine lune (voir plus haut la Date de Pâques) n'est pas pour eux quelque chose de fortuit : elle est voulue par Dieu lui-même. Ce n'est qu'à l'équinoxe que le Soleil éclaire toute la Terre tandis que, au même moment, la pleine lune continue à réfléchir ses rayons pendant la nuit.
Certains symboles de la fête de Pâques sont à retrouver parmi ceux de la fête juive de Pessa'h et ont pris une autre signification par rapport au Christ. D'autres se rapportent aux épisodes relatés dans les Évangiles.

L'agneau sacrificiel

La meilleure identification provient du chapitre 53 du prophète Isaïe (versets 5 à 7) « Mais il était transpercé à cause de nos crimes, Écrasé à cause de nos fautes ; Le châtiment qui nous donne la paix est (tombé) sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui la faute de nous tous. Il a été maltraité, il s'est humilié et n'a pas ouvert la bouche, Semblable à l'agneau qu'on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a pas ouvert la bouche. »
Le fils d'Abraham se transforme en fils de Dieu : « Voici : tu deviendras enceinte, tu enfanteras un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très–Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. » (Luc chapitre 1, versets 31 et 32). C'est d'ailleurs à cause de cette seule affirmation qu'il sera crucifié : « Les Juifs lui répondirent : Nous avons une loi, et selon la loi, il doit mourir, parce qu'il s'est fait Fils de Dieu. » (Jean 19:7).
Le bélier que trouve Abraham devient l'Agneau de Dieu : « Le lendemain, il vit Jésus venir à lui et dit : Voici l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. » (Jean 1:29)
Il ne dit rien : « Jésus garda le silence et ne répondit rien. Le souverain sacrificateur l'interrogea de nouveau et lui dit : Es–tu le Christ, le Fils du (Dieu) Béni ? » (Marc chapitre 14, verset 61)
Mais cette mort mène à la résurrection : « Jésus commença dès lors à montrer à ses disciples qu'il lui fallait aller à Jérusalem, souffrir beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, être mis à mort et ressusciter le troisième jour. » (Matthieu 16:21) mais que l'on retrouve aussi dans (Matthieu 20:19 - Luc 9:22 - Luc 13:32 - Luc 18:33 - Luc 24:46).


Le sang
Le sang des béliers servait de signe pour épargner les Hébreux lors de la délivrance et de la sortie d'Égypte : « Quand l'Éternel traversera l'Égypte pour frapper et qu'il verra le sang sur le linteau et sur les deux poteaux, l'Éternel passera par–dessus la porte et ne laissera pas le destructeur entrer dans vos maisons pour (vous) frapper. » (Exode 12:23).
Ce même sang permet la relation avec Dieu via le Christ : « C’est pourquoi Jésus aussi, pour sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. » (Hébreux 13:12)

L'évangile

Jésus et ses disciples,tous juifs, ont donc naturellement fêté cet évènement tout en lui donnant un sens plus profond (pour les chrétiens), car assimilant la sortie d’Égypte à la délivrance définitive de la désobéissance à Dieu,une des significations du mot péché :
« Et leurs cadavres (resteront) sur la place de la grande ville, qui est appelée dans un sens spirituel Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » — Apocalypse, chapitre 11, verset 8

Le pain

Concernant le pain, les chrétiens sont aussi appelés à ôter le levain de leur vie. Dans l'Évangile, cela prend une signification spirituelle :
« Sur ces entrefaites, les gens s’étant rassemblés par milliers, au point de s’écraser les uns les autres, Jésus se mit à dire en premier lieu à ses disciples : Gardez–vous du levain des Pharisiens, qui est l’hypocrisie » — Luc 12:1
Ou encore dans une lettre de saint Paul :
« Il n’est pas beau, votre sujet de gloire ! Ne savez–vous pas qu’un peu de levain fait lever toute la pâte ? Purifiez–vous du vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, ni avec un levain de perfidie et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la sincérité et de la vérité. » — 1 Corinthiens, chapitre 5, versets 6 à 8

La fête

Fête religieuse

Pâques est une fête dite « d’obligation » dans l'Église catholique, c'est-à-dire qu’il est obligatoire de chômer et d'assister à la messe. Pendant longtemps, Pâques était le jour de l'année où les fidèles allaient communier, ce qui leur imposait d'aller se confesser préalablement. On employait l'expression « faire ses Pâques ». C'est aussi l'occasion pour le Pape de prononcer sa bénédiction urbi et orbi.


Les œufs de Pâques

La tradition d'offrir des œufs remonterait à l'Antiquité. Déjà, les Égyptiens et les Romains offraient des œufs peints au printemps car ils étaient le symbole de la vie et de la renaissance.
L'Église ayant instauré au IVe siècle l'interdiction de manger des œufs pendant le Carême et les poules continuant à pondre, les œufs pondus depuis le début du Carême - n'ayant pas été mangés - étaient alors décorés et offerts. De nos jours, le jeûne n'est plus observé aussi strictement mais la tradition d'offrir des œufs, y compris en chocolat, est restée.

vendredi 27 mars 2009

Greenpeace

Greenpeace (de l'anglais : paix verte) est une organisation non gouvernementale non violente de protection de l'environnement présente dans plus de quarante pays à travers le monde : en Amérique du Sud et du Nord, en Asie, en Europe et dans le Pacifique.

L'organisation

Greenpeace nait en 1971 quand un groupe de treize militants pacifistes et écologistes (John Cormack, Jim Bohlen, Paul Watson, Bill Darnell, Patrick Moore, Lyle Thurston, Dave Birmingham, Terry Simmons, Richard Fineberg, Robert Hunter, Ben Metcalfe, Bob Cummings et Bob Keziere) embarquent à bord d'un vieux chalutier, le Phyllis Cormack, pour empêcher les essais nucléaires américains sur le site d'Amchitka en Alaska. Dès 1972, les États-Unis cessent leurs essais nucléaires atmosphériques.
Très vite, le groupe cherche un nom évocateur de sa double préoccupation : environnement et
pacifisme. Les termes green (vert) et peace (paix) sont ceux qui résument le mieux leur démarche.
En
1979, Greenpeace devient une organisation internationale quand les bureaux d’Europe, du Pacifique et d’Amérique se réunissent pour constituer Greenpeace International. Depuis 1989, l'organisation a son siège basé à Amsterdam (Pays Bas), d'où sont définies et coordonnées les campagnes de l'ONG.
Actuellement, Greenpeace International compte près de 3 millions d’adhérents à travers le monde. Greenpeace France, association loi 1901, compte plus de 110 000 adhérents à fin 2007 et 53 salariés.

Les valeurs fondamentales de Greenpeace

Le principe de non-violence :
Le principe de non violence est un élément fondamental de la démarche de Greenpeace et est au cœur même de ses actions. Jamais de dégradation de matériels, jamais de violence envers qui que ce soit. Cette tactique d'interposition des volontaires de Greenpeace pour empêcher une nuisance, imposer un temps d'arrêt pour poser le débat, forcer le positionnement des acteurs, a été inauguré par les fondateurs du mouvement qui se placèrent dans la zone d'essai de la bombe atomique américaine en Alaska.

Indépendance financière et politique :
Pour garder son indépendance, Greenpeace refuse les subventions publiques et les contributions d’entreprises et est financée à 100% par les dons de ses adhérents-donateurs. Cette indépendance politique et financière assure à Greenpeace une liberté totale d’expression et d’action en tout lieu et en toute circonstance.

Un contre-pouvoir :
Greenpeace mobilise l’opinion publique, construit des rapports de force et oblige les décideurs politiques et économiques à prendre en compte les problèmes environnementaux.

L’application du principe de précaution :
L’identification d’un risque, réel ou potentiel pour l’environnement ou la santé publique doit imposer la prudence et conduire à ne pas entamer ou poursuivre l’activité générant ce risque.

Enjeux internationaux :
Greenpeace concentre son attention sur les problèmes globaux qui menacent l'environnement au sens large et qui constituent des enjeux planétaires : changements climatiques, consommation énergétique, prolifération nucléaire, dégradation de la biodiversité, pollutions génétiques, dissémination des produits toxiques...


Rui Alexandre 11ºE Nº14

Valorisation matière

Le recyclage

Pourquoi recycler ?
Papiers, cartons, plastiques, métaux, verre...ces déchets représentent d'importants gisements de matériaux qui peuvent être récupérés et utilisés pour la fabrication de nouveaux produits.

En recyclant un déchet :
une deuxième vie est donnée au déchet.
de nouveaux produits sont fabriqués.
Ainsi, nous allons :
économiser les ressources naturelles.
réduire la mise en décharge et l'incinération.
réduire les pollutions.
Par exemple...
Quand on recycle
le plastique, on économise du pétrole.
le papier, on économise du bois.
l'acier, on économise du fer.
l'aluminium, on économise de la bauxite.

Déchets recyclables
Déchets traités par le SYCTOM en vue de leur traitement par valorisation matière.

Déchets des collectes sélectives
Ce sont les déchets que nous avons triés préalablement à la maison :
le papier - carton - brique alimentaire
l'acier et l'aluminium
le plastique
le verre
Ces déchets sont ensuite triés, puis séparés par matériaux dans un centre de tri et orientés vers une filière industrielle pour être recyclés.
Mais la valorisation matière ne concerne pas seulement les déchets provenant des collectes sélectives.

Autres déchets recyclables
Les déchets provenant des déchetteries ainsi que les encombrants pré-triés dans un centre de transfert, sont orientés vers des centres de tri privés spécialisés en vue de leur recyclage.
Les ferrailles et mâchefers issus de l'incinération des ordures ménagères sont transférés vers des centres spécialisés pour être recyclés dans la sidérurgie et les travaux publics.

Déchets acceptés
Liste de déchets acceptés par le SYCTOM dans les collectes sélectives en vue de leur recyclage.

Papier, carton, brique alimentaire
Déchets acceptés
Journaux, magazines
Prospectus
Livres et cahiers
Photocopies, chemises
Catalogues, annuaires
Petits cartons d'emballage
Gros cartons
Briques alimentaires

Acier et aluminium
Déchets acceptés
Boîtes de conserves
Canettes de boisson
Bombes aérosol, bidons
Boîtes métalliques

Plastique
Déchets acceptés
Bouteilles transparentes
Flacons opaques
Bouteilles opaques Acceptés avec ou sans bouchon

Déchets directement collectés par la société de recyclage
Verre
Déchets acceptés
Bouteilles
Bocaux
Pots

Déchets refusés
Couches-culottes, lingettes...
Papiers gras ou souillés.
Papiers peints
Calques
Etiquettes autocollantes
Revues sous film plastique

Déchets refusés
Boîtes non vidées
Barquettes vidées ou non

Déchets refusés
Sacs plastiques
Films plastiques
Petits emballages
Barquettes en polystyrène

Déchets refusés
Ampoules, néons et halogènes
Vaisselle et porcelaine
Miroirs et vitres .


Celso Carvalho Nº7 11ºF

Réchauffement Climatique

Le réchauffement climatique tant annoncé pourrait bien avoir lieu. Cette question semblait faire l’unanimité parmi les centaines d’experts du monde entier réunis lors du Comité intergouvernemental des Nations unies sur les changements climatiques (IPCC) le 19 février 2001.La température de l’air a en effet augmenté en moyenne de 0,6°Celsius au cours du XXe siècle. Cela peut sembler très faible et pourtant : seulement 7°Celsius séparaient la période glaciaire qu’a connue notre planète il y a 20 000 ans, de celle plus chaude qu’elle a connue il y a 7000 ans ! Les premières conséquences de ce réchauffement sont déjà visibles : diminution de 10 % de la couverture neigeuse dans l’hémisphère Nord depuis les années 1960, recul des placiers de montagne, élévation de 10 à 20 centimètres du niveau des océans au cours du XXe siècle, augmentation des précipitations, des inondations ou des sécheresses, dégel du pergélisol…Aujourd’hui, quasiment tous les scientifiques s’accordent à imputer l’essentiel de cette évolution sur les dernières décennies du XXe siècle aux gaz à effet de serre produits par les activités humaines. Le principal responsable est le gaz carbonique qui représente 70 % des émissions, puis vient le méthane. Leur concentration dans l’atmosphère n’arrête pas d’augmenter depuis le début de l’ère industrielle : depuis 1750, la concentration en gaz carbonique a augmenté de 31 % et celle en méthane de 150 %. Une partie de ces gaz reste dans l’atmosphère et le reste est absorbé par les océans et les végétaux.Si aujourd’hui, l’état des connaissances scientifiques et les modèles utilisés par les climatologues ne permettent pas de faire de prédictions fines à l’échelle régionale, ils permettent de prédire globalement à l’échelle de la planète les grandes évolutions auxquelles il faut s’attendre. Or, les prévisions sont alarmistes : un réchauffement de 1,4 à 5,8°Celsius est en effet prévu d’ici à la fin du XXIe siècle, la plus forte augmentation qu’aura connue la Terre depuis environ 10 000 ans.
Mais ne nous y trompons pas. Notre planète sera plus chaude mais deviendrait aussi plus humide. Les modèles prévoient que la nouvelle répartition des pluies accentuerait encore les inégalités existantes : les régions équatoriales recevraient plus d’eau, contrairement aux régions subtropicales et méditerranéennes dont la sécheresse augmenterait et dont les ressources hydriques diminueraient. Finalement, les pays les plus fragiles vis-à-vis de leurs ressources en eau le deviendraient encore davantage.En outre, les scientifiques prévoient d’ici à 2100 la fonte partielle ou totale des glaciers, 98 % d’entre eux étant actuellement en régression., et une élévation moyenne du niveau des océans comprise entre 9 et 88 centimètres.Si rien n’est fait, certaines modifications pourraient devenir irréversibles au-delà de la deuxième moitié du XXIe siècle. Le seul moyen de freiner cette évolution est de réduire les émissions des gaz à effet de serre.
Celso Carvalho Nº7 11ºF

Dégradations -> Le réchauffement climatique

Le réchauffement climatique tant annoncé pourrait bien avoir lieu. Cette question semblait faire l’unanimité parmi les centaines d’experts du monde entier réunis lors du Comité intergouvernemental des Nations unies sur les changements climatiques (IPCC) le 19 février 2001.La température de l’air a en effet augmenté en moyenne de 0,6°Celsius au cours du XXe siècle. Cela peut sembler très faible et pourtant : seulement 7°Celsius séparaient la période glaciaire qu’a connue notre planète il y a 20 000 ans, de celle plus chaude qu’elle a connue il y a 7000 ans ! Les premières conséquences de ce réchauffement sont déjà visibles : diminution de 10 % de la couverture neigeuse dans l’hémisphère Nord depuis les années 1960, recul des placiers de montagne, élévation de 10 à 20 centimètres du niveau des océans au cours du XXe siècle, augmentation des précipitations, des inondations ou des sécheresses, dégel du pergélisol…Aujourd’hui, quasiment tous les scientifiques s’accordent à imputer l’essentiel de cette évolution sur les dernières décennies du XXe siècle aux gaz à effet de serre produits par les activités humaines. Le principal responsable est le gaz carbonique qui représente 70 % des émissions, puis vient le méthane. Leur concentration dans l’atmosphère n’arrête pas d’augmenter depuis le début de l’ère industrielle : depuis 1750, la concentration en gaz carbonique a augmenté de 31 % et celle en méthane de 150 %. Une partie de ces gaz reste dans l’atmosphère et le reste est absorbé par les océans et les végétaux.Si aujourd’hui, l’état des connaissances scientifiques et les modèles utilisés par les climatologues ne permettent pas de faire de prédictions fines à l’échelle régionale, ils permettent de prédire globalement à l’échelle de la planète les grandes évolutions auxquelles il faut s’attendre. Or, les prévisions sont alarmistes : un réchauffement de 1,4 à 5,8°Celsius est en effet prévu d’ici à la fin du XXIe siècle, la plus forte augmentation qu’aura connue la Terre depuis environ 10 000 ans.
Mais ne nous y trompons pas. Notre planète sera plus chaude mais deviendrait aussi plus humide. Les modèles prévoient que la nouvelle répartition des pluies accentuerait encore les inégalités existantes : les régions équatoriales recevraient plus d’eau, contrairement aux régions subtropicales et méditerranéennes dont la sécheresse augmenterait et dont les ressources hydriques diminueraient. Finalement, les pays les plus fragiles vis-à-vis de leurs ressources en eau le deviendraient encore davantage.En outre, les scientifiques prévoient d’ici à 2100 la fonte partielle ou totale des glaciers, 98 % d’entre eux étant actuellement en régression., et une élévation moyenne du niveau des océans comprise entre 9 et 88 centimètres.Si rien n’est fait, certaines modifications pourraient devenir irréversibles au-delà de la deuxième moitié du XXIe siècle. Le seul moyen de freiner cette évolution est de réduire les émissions des gaz à effet de serre.

Et si nous faisions le point sur le réchauffement climatique?


UN CONSTAT: LE RECHAUFFEMENT DE LA PLANETE
Il y a une vingtaine d’année, de nombreux scientifiques s’interrogeaient sur l’existence ou non d’un « réchauffement climatique » avéré. Les observations et mesures effectuées ces dernières années ont levé le doute sur cette question : augmentation lente, supérieure à 0,6°C en un siècle, des températures moyennes enregistrées par les stations météorologiques du monde entier, diminution de l’étendue et de l’épaisseur de la banquise arctique, recul des glaciers, augmentation significative du niveau de la mer, autant d’indices sont venus confirmer la réalité du réchauffement climatique.

Plusieurs milliers de chercheurs du monde entier contribuent à l’élaboration des rapports scientifiques par les experts du GIEC, organisme qui fait autorité dans le domaine de l’étude du réchauffement climatique. Le GIEC a été créé en 1998 par l’Organisation météorologique Mondiale et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement, avec pour mission d’évaluer l’information scientifique sur les changements climatiques, leurs impacts et les mesures de prévention et d’adaptation envisageables.


LE CLIMAT DE LA TERRE
Le climat de la Terre résulte d’interactions complexes essentiellement entre l’atmosphère et les océans. Au cours des temps, il a présenté une variabilité importante qui a pu être mise en évidence par différents indicateurs. A titre d’exemple, les forages de glace effectués dans l’Antarctique ont permis de remonter des carottes emprisonnant des bulles d’air de plusieurs centaines de milliers d’années et l’analyse de ces échantillons a contribué de façon importante à l’étude du climat et de ses variations sur une longue échelle de temps, plus de 700000 ans .Cette connaissance de la variabilité du climat de la Terre au cours du temps est indispensable pour être en mesure d’identifier si le réchauffement climatique récemment constaté présente un caractère exceptionnel ou s’il s’inscrit dans des cycles climatiques naturels et connus.


L’EFFET DE SERRE

L’effet de serre est souvent hâtivement désigné comme responsable du réchauffement climatique. En réalité, l’effet de serre est un phénomène naturel lié à la présence de gaz atmosphériques, tels que le dioxyde de carbone, le méthane. qui piègent le rayonnement infrarouge émis par la Terre. Cet effet de serre permet à l’atmosphère de se maintenir à une température moyenne de 15°C et sans lui, la température moyenne de la Terre serait de l’ordre de - 18°C !

Ce qui inquiète actuellement la communauté scientifique est le constat d’une augmentation continue de la concentration des gaz à effet de serre, et le fait que cet accroissement résulte des activités humaines. En effet, le dioxyde de carbone est produit en très grande quantité lors de la combustion des hydrocarbures qui constituent l’essentiel des carburants utilisés dans les centrales thermiques, pour les transports routiers, aériens et maritimes.C’est cet effet de serre additionnel induit par les activités humaines qui est responsable du réchauffement climatique observé depuis quelques années. Ceci a conduit les scientifiques à estimer qu’il y a « une influence perceptible de l’homme sur le climat global ».


LE CLIMAT DES PROCHAINES DECENIES:

Plusieurs questions sont fréquemment soulevées :Le réchauffement climatique va-t-il se poursuivre ?

Le GIEC a établi plusieurs scénarios reposant sur différentes hypothèses prenant en compte les progrès technologiques, la mise en oeuvre de différentes ressources énergétiques, l’évolution démographique.Quel que soit le scénario envisagé, une hausse de température est à prévoir, plus forte au 21ème siècle qu’au 20ème siècle.

Quelles seront les conséquences de ce réchauffement climatique ?En premier lieu, c’est le niveau moyen de la mer qui sera affecté par ce réchauffement. La dilatation thermique des océans ajoutée à la fonte des glaciers pourrait entraîner une élévation de quelques dizaines de centimètres, ce qui paraît peu, mais est suffisant pour diminuer sensiblement la surface des terres émergées dans les régions basses et de faible relief, souvent très peuplées. En second lieu, les régimes de précipitations pourraient être modifiés, avec des régions devenant plus arides et d’autres beaucoup plus arrosées.
Les événements météorologiques extrêmes seront-ils plus graves et plus fréquents ?Ces dernières années, les effets de phénomènes climatiques tels que El Nino ont été plus violents, l’Europe a été soumise à de violentes tempêtes et à des inondations catastrophiques. En France, les tempêtes de décembre 1999, la canicule de 2003, ont laissé de cruels souvenirs. On ne peut pour autant lier avec certitude ces évènements au réchauffement climatique. Un peu de recul est nécessaire pour avoir un avis pertinent sur ce sujet.

Notions sur le traitement des déchets industriels

6 grands types de traitement

Traitement Physico-chimique

Il est destiné à des déchets de nature minérale. Le traitement effectué va dépendre de la composition chimique du déchet (présence de cyanures, de chrome hexavalent, de métaux lourds, pH…). Il consiste en :
une oxydation du cyanure
une réduction du chrome hexavalent en chrome trivalent moins toxique et précipitable sous forme insoluble,
une précipitation des métaux lourds en hydroxydes métalliques insolubles
une neutralisation des effluents acides et alcalins. Le traitement physico-chimique génère des boues contenant des hydroxydes métalliques précipités qui, après décantation, vont subir une déshydratation destinée à les rendre acceptables dans un centre de stockage de déchets industriels spéciaux ou ultimes. L'effluent épuré, après un contrôle de conformité, est rejeté dans le milieu naturel.


Incinération
L'incinération génère des sous-produits comme les mâchefers ou les résidus d'épuration des fumées qui doivent être stockés dans un centre de stockage de déchets ultimes.

Co-Incinération
Elle consiste en une incinération de déchets industriels utilisés comme combustible d'appoint dans des installations dont la vocation principale n'est pas l'incinération.Ce sont les cimenteries et les fours à chaux.

Traitement biologique
Il est réservé à certaines catégories de déchets organiques plus ou moins liquides pouvant être dégradés par voie bactérienne. Le traitement biologique intervient en général après un traitement physico-chimique pour compléter l'épuration de la phase aqueuse résiduelle.



Stockage des résidus ultimes
Le stockage des déchets dangereux après traitement est réalisé dans un Centre d'Enfouissement Technique (C.E.T.) de classe I, encore appelé centre de stockage de déchets ultimes. Les déchets sont stabilisés avant leur enfouissement afin d'immobiliser leur potentiel polluant résiduel et réduire l'impact de leur stockage vis-à-vis du milieu naturel. Les déchets sont entreposés dans des alvéoles étanches sans contact avec les eaux superficielles et souterraines.


Enfouissement profond

Certains déchets ne peuvent être traités dans les filières décrites précédemment en raison de l'absence de traitement qui permet d'en réduire le potentiel polluant. Ils sont alors conditionnés en fûts ou big bags et enfouis à plusieurs centaines de mètres sous terre dans d'anciennes galeries de mines de sel parfaitement isolées des conditions extérieures et notamment des eaux souterraines ou superficielles.Le premier centre d'enfouissement profond français est ouvert depuis février 1999 dans les anciennes mines de potasse de Wittelsheim (68). Auparavant les déchets étaient enfouis en Allemagne.

DOMOTIQUE



L'Intelligence à domicile
Pascal, tout en se brossant les dents, jette un œil au bulletin météo et aux cours de la Bourse qui se sont affichés dans un coin du miroir de la salle de bains quand il a empoigné son tube de dentifrice. Ni chute de pluie ni chute des cours à l'horizon. Catherine, restée au lit et d'humeur voyageuse, effleure du doigt l'icône « Ambiance Caraïbes » de sa Web tablette (passer Noël à la Martinique lui dirait bien…). Sans attendre, la lumière de la chambre à coucher se tamise, une vidéo de la baie de l'« île aux Fleurs » défile sur les murs, des effluves d'orchidées, de goyaviers et de magnolias s'échappent d'un diffuseur de parfum et embaument la pièce tandis qu'un air de biguine s'élève langoureusement des enceintes. Au rez-de-chaussée, Arthur et Lou, 10 et 11 ans, pour une fois en avance, jouent aux échecs et commentent la partie à haute voix. Inutile que Catherine descende. Le système intelligent de la maison est programmé pour décrypter le « bruit » des petits et prévenir leur mère en cas de changement d'ambiance. Justement… Grégoire, qui avait juré de ne pas regarder l'écran qui jouxte l'échiquier et propose des conseils « stratégiques », n'a pas pu s'en empêcher et vient de mettre échec et mat sa grande sœur qui trépigne ! Un tapage qui ne dérange nullement Mamie Georgette, 105 printemps, qu'un bras robot articulé, au second, aide à se caler contre ses oreillers pour savourer le 6 326e épisode des Feux de l'amour.
Scènes de la vie quotidienne d'une famille française un matin de 2020. Et rapide aperçu, aux frontières de l'irréel, des multiples services « intelligents » que pourrait nous rendre après-demain un « smart home » 1 pensé pour nous obéir au doigt et à l'œil, anticiper nos désirs, faciliter nos loisirs, nous affranchir des tâches ménagères, veiller sur notre santé, notre confort, notre sécurité tout en nous gratifiant d'aimables économies d'énergie. « La situation, commente Éric Campo, enseignant-chercheur au Laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes (Laas) 2 de Toulouse, n'a plus rien à voir avec les années quatre-vingt où, malgré des relances multiples, la possibilité d'un habitat “automatisé” ne s'est pas concrétisée à cause de l'insuffisance des technologies engendrant des coûts souvent démesurés de l'offre, par ailleurs mal ciblée. L'utilisateur a perçu ces services comme des “gadgets” hors de prix réservés aux passionnés de technique. » Mais aujourd'hui, l'offre s'affine. Pour preuve : Domotag. Développé par le Laas et commercialisé par la société Tag Technologies, ce système de protection et d'alarme révolutionnaire étudie les vibrations du sol et parvient à détecter les tentatives d'intrusion avant qu'un individu n'ait pu entrer dans l'habitation.
Besoins soigneusement identifiés, technologies mieux maîtrisées, coûts revus à la baisse : les conditions sont aujourd'hui réunies pour que les nouveautés pleuvent et que le grand public y adhère. Si un secteur entend profiter de l'aubaine, c'est d'abord la santé. La part du troisième et du quatrième âge ne cessant de croître sous nos latitudes, « le suivi continu des personnes fragilisées, hors des murs de l'hôpital et dans de bonnes conditions de sécurité, va devenir indispensable et peut être cherché dans les progrès de la microélectronique, des microsystèmes et des technologies de l'information et des télécommunications », indique Éric Campo. Et de décrire le projet Prosafe du Laas : un réseau de capteurs de présence pour apprendre le comportement d'une personne âgée dans son lieu de vie et renseigner sur un état d'immobilité anormal, « ce système pouvant être complété par des capteurs de pression ou des accéléromètres pour détecter une chute ou un évanouissement, des capteurs de contact magnétique des portes et des fenêtres, d'humidité, de température, de luminosité… ». Incrustés dans les murs, les plafonds, les sols, tous seront reliés, via un réseau de communication adapté, à une base de traitement connectée à un centre médical.
Autre dispositif de télévigilance promettant de faire florès : les capteurs physiologiques portables au poignet – sous la forme d'un mini-­boîtier – et mesurant la tension, la fréquence cardiaque, le rythme respiratoire, le taux de glycémie, l'activité motrice… Autant de paramètres biologiques qui seront envoyés vers une unité de traitement qui les comparera avec des modèles personnalisés, avant de les adresser à une centrale de surveillance chargée de diagnos­tiquer et de prévenir le personnel de suivi à la moindre anomalie.
« Pour ne pas être stigmatisants, ces capteurs gagneront en discrétion en étant insérés dans les vêtements, commente Norbert Noury, chercheur au laboratoire « Techniques en imagerie, modélisation et cognition » (TIMC-Imag) 3. Une équipe américaine du MIT, à Boston, vient même de mettre au point une espèce de bague mesurant la pression artérielle périphérique de manière continue. Mais ces outils seront aussi à la disposition des gens en bonne forme qui auront envie – ou besoin – de connaître en permanence l'état du “moteur”. Ou alors dans les entreprises, pour identifier les situations de détresse, les prises de risques inconsidérées… » Comptez moins d'une dizaine d'années avant leur lancement sur le marché.
Encore plus étonnant : la « suppléance fonctionnelle ». Sûr que, sous peu, des déambulateurs intelligents cherchant tout seuls les mains d'une personne à mobilité réduite pour l'aider à se lever puis à marcher équiperont moult foyers. Et puis, « des minirobots munis d'un bras mobile et d'une caméra aideront les personnes alitées à chercher des objets dans leur environnement, dit Étienne Colle, directeur du Laboratoire « Systèmes complexes » (LSC) 4. On peut aussi imaginer qu'ils soient commandés à distance par un centre de télévigilance, via Internet ». En cas d'alerte donnée par un capteur de chute, un médecin pilotera le robot, le rapprochera du patient en difficulté, établira un premier diagnostic et préviendra le Samu, faisant ainsi gagner de précieuses secondes.
D'autres bonnes fées high-tech, jouant philanthropiquement des bras et des pattes, astiqueront les vitres après un orage, transporteront les courses du coffre de la voiture au frigo, repasseront le linge… Reste, grand phantasme, le robot humanoïde modèle C3PO 5. « Eux disposeront d'une plus ou moins grande capacité de décision. Ils seront capables de partager des émotions avec leur “maître” et d'exprimer les leurs, analyse François Pierrot, directeur adjoint du Laboratoire d'informatique, de robotique et de microélectronique de Montpellier (Lirmm) 6 et instigateur du Joint Robotics Laboratory 7 avec Jean-Paul Laumond, du Laas. La partie est éminemment complexe, mais d'ici la prochaine décennie, ces systèmes aujourd'hui balbutiants auront fait de gros progrès. Reste à savoir si les gens accepteront de les utiliser : la relation humain-humanoïde devra être étudiée en profondeur… »
Ce dont « les gens » se frotteront les mains, en tout cas, c'est de savoir que la maison de demain, sitôt après avoir mémorisé les habitudes de ­comportement de ses occupants, se chargera de régler toute seule le chauffage en fonction des ­prévisions météo, le coupera avant qu'ils ne sortent et le réactivera avant qu'ils ne rentrent, bouclera les entrées à l'approche de tout inconnu, détectera la moindre fuite de gaz ou d'eau et en avertira qui de droit par mail ou SMS, appellera le réparateur en cas de panne d'un appareil électroménager, affichera des menus light sur l'écran du réfrigérateur quand le pèse-personne lui aura signalé une prise de poids préoccupante... Comptez aussi sur elle pour conformer l'ambiance lumineuse à vos humeurs. « Tous ces capteurs sauront interpréter, analyser et prendre des décisions, insiste Éric Campo. Ils éteindront une lampe après s'être assurés qu'il n'y a plus personne dans la pièce, contrôleront la teneur en CO2 et ouvriront les fenêtres pour aérer, alerteront ses parents quand un jeune enfant s'approchera trop près d'une ­plaque de cuisson… Il ne s'agira plus de monotech­niciens “bêtes et méchants”. Ils dialogueront non-stop entre eux, via des liaisons sans fil. » Vive l'interopérabilité des équipements !
Surtout, renchérit Christophe Cerisara, chercheur au Laboratoire lorrain de recherche en informatique et ses applications (Loria) 8, « il importe que cet environnement logiciel d'“intelligence ambiante” soit aussi transparent que possible afin de ne pas accaparer l'attention de son utilisateur et lui donner le sentiment de perdre le contrôle ». Le système, rehaussé de webcams, surveillera la maison incognito, sans déranger personne, collectera le maximum d'informations « contextuelles » pour localiser un locuteur par l'analyse des signaux acoustiques (Dans quelle pièce se trouve-t-il ? »), identifiera le thème d'une discussion (« Qui pose une question et à qui ? » / « Qui répond, avec quelle intonation ? »), interprétera cette conversation (« De quoi / De qui parlent-ils ? ») et réagira à bon escient. Mot d'ordre : prévenance, précision, discrétion. « Toute la philosophie des “interactions implicites” repose sur ce principe : faire que l'utilisateur n'ait pas à réclamer de l'aide au système, mais que celui-ci, en exploitant toutes les caractéristiques de son environnement, anticipe au mieux les besoins des occupants d'une maison », dit le même expert. Un exemple concret ? « On peut imaginer qu'il projette les photos que le maître de maison et son épouse auront prises pendant leurs vacances et dont ils parleront à leurs invités, au débotté, pendant un dîner. »
Une époque change, vivement la suivante ! Mamie Georgette, avec un peu de chance, assistera au spectacle.

Traitement des déchets

Le centre de tri Mécano-Biologique

Le nouveau centre de tri mécano-biologique de Champdeniers va permettre de diminuer de près de 30% le volume des déchets enfouis et de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Un centre pour faire quoi ?
Le centre de tri mécano-biologique de Champdeniers est un outil de valorisation écologique des déchets ménagers ultimes c'est-à-dire contenu dans la poubelle de cuisine encore appelée poubelle grise. Il ne remplace en rien le tri des emballages ménagers que chacun fait à la maison. Complémentaire du tri individuel, il permet un tri des ordures brutes et donc un tri assuré mécaniquement pour plus de valorisation. 1/3 des déchets qui autrefois étaient enfouis vont pouvoir être recyclés, principalement sous la forme d’un compost fertilisant immédiatement utilisable par l’agriculture. Fonctionnant de manière écologique, le centre de tri mécano-biologique participe donc activement au développement durable et œuvre pour un environnement présent et futur plus propre.

Le tri mécano-biologique : comment ça marche ?
Après collecte des déchets ménagers, ceux-ci sont acheminés jusqu’au centre de Champdeniers où ils sont passés au travers d’un crible rotatif. Sont alors séparés les éléments biodégradables des éléments secs, notamment ferreux. Les matières biodégradables ou fermentescibles (sujettes à fermentation) passent à travers divers autres cribles puis sont déposés dans des écosilos où elles vont fermenter durant 5 semaines. Arrosées et ventilées pendant cette période pour accélérer le processus naturel de décomposition, elles produiront un compost naturel, prêt à être employé par l’agriculture.

En quoi le centre est-il écologique ?
Le tri des déchets et leur traitement au centre de Champdeniers ne font intervenir aucune substance nocive pour l’environnement : les déchets fermentescibles sont simplement humidifiés et ventilés pour accélérer le processus naturel. Limitant largement l’enfouissement des déchets et n’enfouissant que des déchets entièrement stabilisés non susceptibles de polluer l’environnement, le centre agit sur le long terme. Toute l’eau qu’il consomme est issue des eaux pluviales récupérées dans un bassin extérieur puis filtrées pour arroser les déchets et servir dans les sanitaires. Enfin, le compost très riche issu de l’usine permet aux agriculteurs de diminuer l’apport en engrais de synthèse.

Les maisons du futur

Les nouvelles unités d'habitation, qu'elles soient collectives ou individuelles, vont devenir totalement autonomes. Notre alimentation étant produite par des synthétiseurs de nourriture fonctionnant grâce à la nanotechnologie et capable de fabriquer n'importe quoi à partir d'éléments chimiques de base, de la côte de boeuf à la cuisse de poulet en passant par les fruits, les légumes ou les boissons. Il suffira d'alimenter constamment ces synthétiseurs de nourriture avec un liquide contenant tous les éléments de la table de Mendeleïev. Tout comme nous avons actuellement l'eau courante au robinet, nous aurions des canalisations amenant ce liquide ou cette "eau de Mendeleïev" aux synthétiseurs situés dans chaque habitation. Chaque appartement ou maison individuelle devient 100 % autonome sur tous les plans. L'eau que nous buvons est récupérée après que nous ayons uriné et la nanotechnologie la retransforme en eau de source 100 % pure en gardant précieusement les minéraux qui seront réutilisés. Idem avec nos matières fécales qui sont récupérées et recyclées pour redevenir notre nourriture du lendemain, en utilisant aussi les minéraux provenant de l'ancienne urine. Dans un tel système, il n'y a plus aucun besoin d'apport quotidien de nourriture extérieure ou d'évacuation polluante des déchets. Dans un recyclage permanent il peut n'y avoir besoin de temps en temps que de quelques grammes de matières ou de poudre de Mendeleïev contenant tous les éléments, et de quelques litres d'eau. L'énergie électrique dont nous avons besoin peut être produite par des centrales individuelles fonctionnant elles aussi grâce à la nanotechnologie, de petites boîtes pas plus grosses que des lave-linge pouvant fournir assez d'énergie pour éclairer, climatiser et chauffer toute une maison en utilisant les molécules d'hydrogène présentes dans l'air et en mélangeant la nanotechnologie et les fuel cells. La maison elle-même peut être composée soit de composants biologiques soit inclure dans sa structure des nanobots. Par exemple les sols peuvent être recouverts d'une fourrure épaisse et confortable située sur une peau vivante, incorporant à sa structure les déchets et les poussières pour s'en nourrir et faire pousser des nouveaux poils remplaçant les anciens, et ayant parmi ses poils des nanobots nettoyant en permanence tous les poils. Les murs eux-mêmes peuvent être revêtus de matière qui se nettoie et se répare d'elle-même en permanence et change de couleur, avec tous les motifs imaginables, selon vos souhaits. Lorsque vous décidez de construire une habitation quelque part, vous apportez une boite de nanobots de base préprogrammés pour la fonction et ils vont se multiplier en nombre suffisant pour faire pousser du sol en utilisant les composants qu'ils réarrangent au niveau atomique et moléculaire et votre maison que vous voyez pousser comme un champignon, sans même voir les nano. C'est un peu comme si vous plantiez une " graine de maison " dans un jardin pour la faire pousser.

La maison du futur...


La maison du futur et les nanotechnologies

Les nouvelles unités d'habitation, qu'elles soient collectives ou individuelles, vont devenir totalement autonomes.
Notre alimentation étant produite par des synthétiseurs de nourriture fonctionnant grâce à la nanotechnologie et capables de fabriquer n'importe quoi à partir d'éléments chimiques de base, de la côte de boeuf à la cuisse de poulet en passant par les fruits, les légumes ou les boissons.
Chaque appartement ou maison individuelle devient 100 % autonome sur tous les plans. L'eau que nous buvons est récupérée après que nous ayons uriné et la nanotechnologie la retransforme en eau de source 100 % pure en gardant précieusement les minéraux qui seront réutilisés.
L'énergie électrique dont nous avons besoin peut être produite par des centrales individuelles fonctionnant elles aussi grâce à la nanotechnologie, de petites boîtes pas plus grosses que des lave-linge pouvant fournir assez d'énergie pour éclairer, climatiser et chauffer toute une maison en utilisant les molécules d'hydrogène présentes dans l'air et en mélangeant la nanotechnologie. La maison elle-même peut être composée soit de composants biologiques soit inclure dans sa structure des nanobots.
C'est la maison du futur.

jeudi 26 mars 2009

À la maison et au delà



En quoi la maison du futur différera-t-elle de celle que vous connaissez aujourd’hui ? La maison numérique de
2010 est un espace plus convivial et plus sûr, dans lequel les technologies jouent un rôle omniprésent, favorisant
l’épanouissement au quotidien. Cette maison est un espace de convergence où les technologies permettent
de meilleures communications et relations entre les membres du foyer, ainsi qu’avec les amis et les proches à
l’extérieur.
Ainsi, dans la maison de 2010, il sera facile d’organiser une réunion ou un dîner de famille virtuel à l’aide des
technologies de visioconférence sur Internet. Avec une moyenne de 10 Mbps de vitesse de connexion haut débit
dans la maison, vous pourrez profiter de la vidéo et de la voix sur IP en continu. Les membres d’une famille
dispersée aux quatre coins du monde pourront discuter, communiquer et dîner ensemble de manière virtuelle.
Rester en contact avec des proches moins éloignés de la maison sera également plus facile. Les parents n’auront
plus à s’inquiéter au sujet de leur enfant lorsqu’il sera à l’extérieur. Grâce aux balises RFID actives intégrées aux
vêtements, il sera facile d’accéder à des informations basées sur l’emplacement et de localiser l’enfant, qu’il soit
dans le jardin ou plus loin.
La maison sera également un endroit plus intelligent grâce aux systèmes de commande connectés à Internet
pour une sécurité avancée de la maison et une meilleure efficacité énergétique. À l’aide de minuteries
automatiques et de systèmes de gestion domestique basés sur Internet, vous pourrez réduire vos factures
d’électricité en baissant le chauffage lorsque vous serez à l’extérieur, tout en retrouvant une maison chauffée et
bien éclairée lorsque vous rentrerez. Caméras et capteurs intégrés dans la maison connectée sur IP : cela signifie
que vous pouvez voir ce qui se produit dans et autour de votre maison, même lorsque vous n’y êtes pas. Plus
important encore, votre maison pourrait immédiatement signaler et transmettre un enregistrement vidéo d’une
intrusion ou d’un cambriolage à la police.
Enfin, les corvées ménagères, tondre la pelouse ou faire le ménage par exemple, pourraient faire partie du passé
avec l’avènement des robots domestiques. Toshiba a déjà lancé deux robots sur le
marché japonais. Le robot AppriAttenda accompagne les gens et fonctionne comme un guide ou une nurse. Le
robot ApriAlpha™ peut gérer plusieurs tâches dans la maison, comme le contrôle des appareils ménagers. La
reconnaissance et la synthèse vocales permettent des conversations simples. Le robot peut lire à voix haute le
journal ou les courriers électroniques, il peut également fournir un bref bulletin météo. D’ici 2010, Toshiba prédit
que les robots seront capables de vous accompagner au centre commercial et de porter les courses. Ils pourront
même vous aider à garder les enfants ou à veiller sur des personnes âgées.

dimanche 22 mars 2009

Greenpeace en france

Objectifs
GREENPEACE-France a pour but :- d'oeuvrer par tous les moyens non violents en France comme à l'étranger en faveur de la protection et de la conservation de la nature et de l'environnement- de relayer les campagnes de Greenpeace International en les adaptant au contexte français, et avec toute association ou fondation ayant un objet ou menant une action analogue à Greenpeace.

Description
Domaines principaux d'intervention- biodiversité marine- dissémination des OGM dans l'environnement- forêts primaires- toxiques- nucléaires civil et militaire, énergies renouvelables- changements climatiques
La domotique :est l’ensemble des techniques et technologies qui facilitent la vie quotidienne et permettent une gestion automatisée de l’habitation. Les divers appareils de l’habitat échangent entre eux des informations et assurent aux habitants un meilleur confort. Il s’agit par exemple de la gestion du chauffage, de la fermeture et de l’ouverture des portes et volets, de la mise sous surveillance de la maison… Son fonctionnement est très simple et ses utilisations, en théorie, presque infinies. La volonté de Travaux-déco.com pour ce dossier est de vous présenter, de façon très simple, la domotique en général et ses utilisations en particulier.



1 - Les appareils concernés
Jusqu’ici, les sphères d’application de la domotique portaient principalement sur la réduction de la consommation d’énergie et la sécurité. Aujourd’hui, de nombreuses autres fonctionnalités sont disponibles avec, pour objectif principal, notre confort. Petit tour d’horizon des principaux appareils concernés :
L’électroménager
Aujourd’hui, une « maison intelligente » peut aller jusqu’à posséder un frigo capable de gérer ses stocks et de passer commande, sur Internet, d’une livraison de courses à domicile. Sans aller (encore) jusque-là, la domotique sert le plus souvent à programmer les appareils électroménagers comme les machines à laver, les lave-vaisselle et les sèche-linge, pour qu’ils se mettent en route automatiquement, durant les heures creuses, ou à les déclencher à distance.
Le chauffage
Pour ce qui est des radiateurs, la domotique s’avère très intéressante ! En effet, le chauffage peut être réglé et programmé selon l’absence ou la présence des occupants. Très pratique, une telle installation est recommandée pour les maisons de campagne. Ainsi, les occupants peuvent, à distance, soit par Internet, soit par téléphone, commander la mise en route du chauffage. Un vrai plus pour le confort… et les économies d’énergie
L’éclairage
Qu’il s’agisse de commander toutes les lumières d’une habitation à partir d’une seule et même télécommande, ou de programmer ou de commander à distance la mise en route et l’extinction de l’éclairage de certaines pièces, la domotique permet toutes ces utilisations.

L’alarme
Outre les utilisations de base d’un système classique, de nouvelles fonctionnalités, comme la détection d’incidents domestiques (incendie, émanation de gaz, fuite d’eau…), ainsi qu’une assistance pour les personnes handicapées ou dépendantes ont vu le jour.
L’ouverture et la fermeture automatique
C’est l’une des utilisations les plus répandues aujourd’hui. Elle concerne l’ouverture à distance d’un portail ou d’une porte de garage. Elle permet aussi la fermeture automatique et simultanée des volets roulants de votre habitation.


2 - Le fonctionnement
Le principe est relativement simple : les appareils que l’on souhaite programmer sont branchés sur des modules programmables. Ceux-ci sont ensuite actionnés par des télécommandes ou par un ordinateur qui sert de serveur à la maison. Les signaux ainsi transmis circulent jusqu’aux appareils concernés, soit par le réseau électrique de l’habitation, soit par les fils téléphoniques, soit par ondes radio. Il existe différents systèmes ; sachez seulement qu’ils sont nombreux, qu’ils ne fonctionnent pas toujours les uns avec les autres et qu’ils ne répondent pas tous aux mêmes normes.
Si vous décidez d’équiper votre habitation, mieux vaut faire appel à un professionnel. Dans tous les cas, choisissez de préférence le même système pour chacun des appareils. Ils seront ainsi tous compatibles entre eux et vous pourrez faire évoluer votre installation au fur et à mesure, sans aucun problème !


3 - Gros plan sur la maison domotique
Pour vous montrer de façon ludique tout ce que vous pouvez faire chez vous grâce à la domotique, Travaux-déco.com a élaboré ce petit scénario.
Une journée dans votre maison intelligente
8h00 : votre réveil se met en marche. Votre café chaud a déjà fini de couler depuis 5 minutes. Les stores de la maison se relèvent automatiquement, y compris dans la chambre des enfants.
8h45 : c’est le moment de partir. Grâce à l’activation de l’alarme, vous fermez automatiquement les volets roulants et éteignez toutes les pièces de la maison. Celles-ci s’allumeront, ainsi que la télé, à différents moments de la journée, pour simuler une présence et éviter toute tentative d’intrusion.
10h00 : de votre bureau, via votre téléphone portable, vous vérifiez si le facteur est passé pour déposer le paquet recommandé que vous attendez. Il est bien venu ce matin et a enregistré un message sur le visiophone de la porte d’entrée.
16h30 : les enfants rentrent à la maison. La télé se déclenche automatiquement et reste allumée une demi-heure, le temps du goûter. Elle s’éteint seule, au moment des devoirs.

21h00 : les enfants sont couchés et la lumière de leur chambre baisse petit à petit pour qu’ils s’endorment tranquillement. De votre côté, vous finissez de dîner devant la télé en regardant une émission enregistrée durant votre absence. Le téléphone sonne, le son du téléviseur se baisse automatiquement pour vous permettre de répondre.
23h00 : vous allez vous coucher. L’extinction des lumières de la maison, à l’exception de celles de votre chambre est prévue dans 5 minutes. Partout, les radiateurs baissent leur température de quelques degrés. Ils retrouveront la bonne température, une heure avant votre lever.

4 - Les prix
Le budget d’une maison domotique varie en fonction du type d’installation que vous choisissez. Quelques appareils du type prises programmables sont très accessibles (comptez de 15 à 50 € selon les modèles). Mais si vous vous décidez pour un système filaire complet qui couvre toute la maison où presque, vous devrez faire appel à des professionnels et mettre en place un véritable réseau. Votre budget peut vite s’envoler !À titre indicatif, pour un kit de démarrage simple (commande des prises à distance…), comptez autour de 300 €. Un kit complet pour commander l’ensemble de la maison (appareils, stores, alarme, visiophone…) peut atteindre les 10 000 €, voire plus encore !

Les conséquences du réchauffement climatique :

Les conséquences du réchauffement climatique :
Contrairement à une représentation largement partagée, il n’est pas sûr, que le réchauffement provoque plus de sécheresse. En effet, à l’inverse, les spécialistes pensent, que la chaleur augmentant, l’évaporation des océans se fait plus importante. Ce serait donc la pluie qui se ferait le plus sentir. Ainsi plusieurs spécialistes pensent que la répétition de nombreuses inondations dans le domaine méditerranéen depuis les années 1990, viendrait du réchauffement. De manière général, les pluies devraient s’intensifier dans les régions sèches (donc continentales)
Cependant il y aurait également des disparités géographiques importantes. Ainsi la zone intertropicale ne serait peut-être pas touchée pareillement que les autres zones.
la montée du niveau des mers et océans. Ce phénomène viendrait de deux éléments. Tout d’abord la fonte des glaciers qui est dèjà amplement confirmée (glaciers du Groënland et de l’antarctique notamment). Mais c’est aussi et surtout la dilatation de l’eau par réchauffement, qui provoquerait une montée du niveau des eaux. Des espaces seraient très exposés, comme les atolls de l’Océan Pacifique (exemple à Tuvalu), l’essentiel du territoire du Bangladesh, mais aussi par exemple les Pays-Bas. Le risque est aussi de voir disparaître des étangs de bord de mer (avec notamment la submersion des flèches littorales).
la progression des phénomènes climatiques brutaux comme les cyclones. En effet, un cyclone apparait quand l’eau océanique de surface est à 27°C. Depuis 20 ans, les spécialistes enregistrent un nombre de cyclones plus important. Cependant un débat scientifique important existe sur le lien entre l’activité cyclonique exacerbée et le réchauffement climatique. La plupart des spécialistes pensent que le réchauffement climatique ne crée pas plus de cyclones (le nombre est constant et il fluctue seulement selon des cycles naturels), mais par contre les cyclones seraient beaucoup plus intenses à cause du réchauffement. Donc des cyclones pas plus nombeux mais plus intenses.
L’ère d’une " bombe à carbone " dégagée par les sols. En fait sous l’effet du réchauffement climatique, l’augmentation de la température entraîne laccélération du processus de minéralisation du carbone organique contenu dans les sols (résidus organiques de végétaux, d’animaux...). Ce carbone organique piégé dans les sols se dégage alors dans l’atmosphère sous forme de CO2. Il s’agit là d’un tout autre phénomène que les rejets de CO2 provoqué par la civilisation " thermo-industrielle ". Sachant que les sols mondiaux piègent un volume de carbone organique égal à 300 fois ce que dégage l’humanité en CO2 chaque année, le risque est grandiose. En septembre 2005, d’importants articles parues dans la revue Nature, ont prouvé ce phénomène dans les sols britanniques. En 2007, la France sera elle aussi en mesure de prouver ce phénomène sur son propre territoire.
La modification de l’Albédo moyen de la Terre et un effet de " bombe à carbone " par la simple augmentation de la couverture végétale des territoires arctiques (Russie, Scandinavie, Canada, Alaska) Le réchauffement climatique induit une augmentation de la couverture végétale de ces régions par simple augmentation de la température moyenne. Mais l’augmentation de la couverture végétale réduisant l’enneigement hivernal, l’indice de réflexivité (ou albédo) de ces régions arctiques change : elles réfléchissent moins la lumière du soleil et absorbent plus d’énergie contribuant à encore plus augmenter la pousse de la couverture végétale. Cet excès d’énergie reçu dû à un enneigement réduit implique donc deux phénomènes aux conséquences catastrophiques :
1) les sols sont susceptibles de libérer dans l’atmosphère sous forme de CO2 une part importante des stocks de carbone organique qu’ils piègent.
2) l’enneigement contribue à modifier l’albédo moyen de la Terre, ce qui contribue majestueusement à son réchauffement.
Les scientifiques redoutent la modification des courants marins verticaux qui pourrait transformer les puits de carbone en sources, en libérant ainsi les quantités considérables de réserves d’hydrates de méthane piégées dans les fonds marins sous haute pression. Elles feraient monter la température sur Terre de plusieurs centaines de degrés. L’arrêt de la circulation verticale des courants marins pourrait se produire avec une élévation de la température de quelques degrés.
Un risque de retour du paludisme en Europe. Les régions européennes du pourtour méditerranéen vont dans les 50 années qui viennent, connaître une translation vers elles du climat actuel du Maghreb. Les plaines sub-littorales (régions du Languedoc, Camargue, littoral espagnol..) vont alors devenir des plaines paludéennes et marécageuses infestées de moutisques. Les services de Météo-France pour le réchauffement climatique ont déjà fourni aux préfets en 2005, les cartes du réchauffement et de ses risques majeurs pour le Languedoc-Roussillon.
La sécheresse au Sahel, et par contre-coup de nouvelles migrations de pasteurs nomades vers le Sud du Tchad par exemple. Les conflits autour de la terre et de l’eau dans ces régions pourraient donc s’intensifier.

Le réchauffement climatique c’est quoi ?

Le réchauffement climatique c’est quoi ?


Pour comprendre ce qu’est véritablement le réchauffement climatique, il faut bien distinguer les deux phénomènes qui l’engendrent : la destruction de la couche d’Ozone et l’effet de serre. Ces deux phénomènes sont totalement différents.
Il faut d’abord mettre en avant le « temps long » de l’histoire de notre planète.
Si l’Europe a connu une vaste période de glaciation au Quaternaire, elle n’a pris fin qu’il y a 20 000 ans. Depuis, un réchauffement mondial se fait sentir, mais ce phénomène cyclique n’est pas continu. Ainsi la période comprise entre 1450 et 1850 de notre ère, est appelée par les spécialistes, le « Petit âge glaciaire ». Cette période correspond à une diminution de 0,5°C par rapport à la température d’aujourd’hui.
Pourtant depuis 1850, les températures mondiales remontent (pour les experts du G.I.E.C., la température mondiale a augmenté de 0,6°C depuis la révolution industrielle). On est donc dans un trend (tendance) croissant.


Le réchauffement climatique c’est quoi ?
Ce que nous appelons le réchauffement climatique, ne correspond pas au cycle naturel des évolutions mondiales de température.
Le premier élément qui engendre le réchauffement est ce qu’on appelle la destruction de la couche d’Ozone (O3). En effet, cette ozone se situe dans l’atmosphère entre 7 et 10 kilomètres d’altitude, sa principale propriété est d’arrêter certains éléments de la radiation solaire, les ultra-violets (U.V.). La couche d’ozone permet de réfléchir la moitié du rayonnement solaire en U.V. Ainsi l’autre moitié des U.V. qui a franchi la couche d’ozone, traverse l’atmosphère, celle-ci ayant là encore un rôle de filtre de la radiation. Le problème surgit quand la production de Chlorofluoro carbone devient importante, car celui-ci détruit l’ozone, et donc la proportion du rayonnement solaire en U.V. qui touche le sol terrestre, est plus important.
Le deuxième élément du réchauffement climatique est ce que l’on appelle " l’effet de serre ". En effet, l’atmosphère à un rôle important dans le renvoi des infra-rouges. Or le Co2, produit par les rejets carbonés et le méthane, produit naturellement par les flatulences bovines et les zones humides, arrêtent les infra-rouges une fois qu’ils ont réfléchi sur la surface terrestre. Les infra-rouges ne peuvent plus repasser l’atmosphère et sont alors prisonniers. Ils réchauffent donc fortement l’air.
En mars 2005, un groupe de 1200 experts mondiaux regroupés dans le G.I.E.C., et mandaté par les nations unies, a prévu pour le XXIe siècle un réchauffement mondial moyen compris entre 2°C et 6°C.

samedi 21 mars 2009

Rechauffement climatique.

L'atmosphère de la Terre se réchauffe à grande vitesse.
La fièvre monte, monte, monte. Comme chez un organisme vivant, c'est là le signe d'une maladie grave.Oui, la planète est malade et c'est la faute de notre civilisation industrielle irrespectueuse qui rejette dans l'air des gaz à effet de serre.

En quelques décennies, c'est tout le charbon, tout le pétrole, accumulés avec intelligence par la nature pendant des millions d'années, qui sont largués ainsi sans scrupules dans l'atmosphère.

Le seul remède consiste en une prise de conscience immédiate de toutes les nations. La mise en oeuvre à l'échelle mondiale de technologies moins polluantes (et elles existent!) s'avère obligatoire.

Il est encore temps d'enrayer ce dérèglement catastrophique, mais il faut faire vite!

http://terresacree.org/rechauf.htm

Réchauffement climatique




Le réchauffement climatique, également appelé réchauffement planétaire, dérèglement climatique ou réchauffement global, est un phénomène d'augmentation de la température moyenne des océans et de l'atmosphère, à l'échelle mondiale et sur plusieurs années. Dans son acception commune, ce terme est appliqué au changement climatique observé depuis environ 25 ans, c'est-à-dire depuis la fin du XXe siècle.La plupart des scientifiques attribuent à ce réchauffement global une origine en grande partie humaine. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est chargé d'établir un consensus scientifique sur cette question. Son dernier et quatrième rapport, auquel ont participé plus de 2 500 scientifiques de 130 pays, affirme que la probabilité que le réchauffement climatique depuis 1950 soit d'origine humaine est de plus de 90 %. Cette thèse est contestée par une minorité de personnalités.