dimanche 31 mai 2009

Celui qui n'avait jamais vu la mer




BONHEUR

Nous naissons à la vie et cherchons le bonheur.

Mais, mais qu’est-ce sentiment et quelle est sa valeur ?

Quelles sont les règles de l’art d’être heureux ?

Est- ce que peut connaître la joie celui qui veut ?

Méditons et réfléchissons un tout petit peu !

Ce beau sentiment de plénitude et de paix,

Durable ou un petit instant inoubliable,

Envahit l’esprit et le cœur gai et aimable :

Le temps d’avoir reconnu son identité,

Le temps d’avoir vu se réaliser ses rêves,

Le temps d’avoir profité, joui et ri sans trêve

Le temps d’avoir vécu l’amour et sa liesse,

Le temps d’avoir bu son nectar jusqu’à l’ivresse,

Le temps d’avoir goûté, offert ses élixirs

Sans réticence aucune, à tous, avec plaisir.


Ce beau sentiment de plénitude et de paix,

Durable ou un petit instant inoubliable,

Envahit l’esprit et les cœurs braves et serviables :

Il procure une paisible satisfaction

A qui a concouru à l’illumination

De sa communauté et de l’humanité,

A qui a lutté contre l’inégalité,

La haine, les guerres et toute la pollution,

A qui a exercé ses droits, choisi ses lois

En toute foi, conscience et toute liberté


Ce beau sentiment qu’on appelle le Bonheur

Qui éclaire et embellit les yeux et le cœur

Ne souffre ni égoïsme ni jalousie,

Renie la méchanceté et l’hypocrisie,

L’envie, l’avidité et la cupidité.

Il abhorre qui se soumet, attend et dort,

Qui jamais n’agit, se plaint toujours de son sort.

Il n’aime ni les crocs ni les griffes affilés.





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La mer...

La mer, pour moi s`est une vieille habitude d`été, auquel je n`arrive pas a m`en passer. Le bruit lent des vagues, me transmis de la paix. Mais par contre j`ai peur de me pendre en plein milieu de la mer, m`effraie et m`amène à avoir peur du fond de l`eau. Si on utilise la plage d`une bonne manière, elle se tourne une des meilleures formes de se distraire. Mais par contre je ne partage pas la même obsession de la mer avec Daniel.



Écrit par : Ana Pinto 11ºF
Traduit par: Marcelo Pinto 11ºE

samedi 30 mai 2009

resumé de " celui que n'avait jamais vu la mer"

Daniel ne parle presque pas et n'a pas d'amis.On dirait qu'il dort les yeux ouverts. Il a l'air de venir d'ailleurs. Il aurait pu s'appeler Sindbad le Marin, dont il a lu les aventures, le seul livre qu'il connaisse par cœur : son regard ne s'anime que lorsqu'on lui parle de mer et de voyages. Mais la mer, il ne l'a jamais vue. Alors, n jour de novembre, sans rien dire à personne, il s'en va pour ne plus jamais revenir.

samedi 16 mai 2009


Résumé du conte : « Celui qui n`avait jamais vu la mer »

De temps en temps, Daniel s'arrêtait, face à l'horizon, et il regardait les hautes vagues qui cherchaient à passer par-dessus les brisants. Il respirait de toutes ses forces, pour sentir le souffle, et c'était comme si la mer et l'horizon gonflaient ses poumons, son ventre, sa tête, et qu'il devenait une sorte de géant. Il regardait l'eau sombre, au loin, là où il n'y avait pas de terre ni d'écume mais seulement le ciel libre, et c'était à elle qu'il parlait, à voix basse, comme si elle avait pu l'entendre; il disait : « Viens ! Monte jusqu'ici, arrive ! Viens ! »

Détails
Auteur :Jean-Marie Gustave Le Clézio
Editeur : Gallimard-Jeunesse
Collection : Folio Junior
Date de parution : 23/12/1997
Genre : LITTERATURE JEUNESSE ROMANS / CONTES / FABLES POCHE
Langue : français

vendredi 15 mai 2009

resumé de le film: " la crise"

Le même jour, Victor est abandonné par sa femme et perd son emploi de juriste. Personne autour de lui ne semble se préoccuper de son sort. La seule oreille attentive qu'il trouve est celle de Michou, un SDF rencontré dans un café, et qui va vivre à ses crochet.Au cinéma á 27 de mai.

resumé de le livre: " Les petits- enfants du siécle" de Christiane Rochefort

Josyane de Bagnolet est née le 2 août. Après elle il y a eu encore dix enfants. Les uns après les autres, apportant en prime à leurs parents un tas d’électroménagers, tels que la machine à laver, le frigidaire, la télé, la voiture et le prix Cognac ! Josyane les élèvera tous. C’est une vraie petite maman, tandis que sa mère ne fait que penser à engendre pour gagner les allocations familiales. Chaque enfant est égal à un nouvel électroménager. Nous sommes dans les années 60, il faut reconstruire la France, et les alentours de la capitale française se transforment dans un tas de béton avec ses blocs d’appartements. Les seules distractions de la petite Josyane sont les courses et ses devoirs le soir sur la table de la cuisine. Elle n’a que deux amis. Nicolas, le petit frère qui comprend tout, avec qui elle a une grande complicité. Guido, le maçon, né sur les collines italiennes, est celui qui lui fait découvrir l’ amour. L’amour de Guido bouleverse la vie de Josyane, il en châsse toute l’obscénité et l’insanité.
Plus tard elle a des aventures avec quelques autres garçons, puisque Guido l’a quittée. Elle l’a bien essayé de rencontrer. Elle a même entrepris le vol d’un scooter et pour cela elle s’est jetée dans les bras de Didi. Jo, comme on l’appelle, a eu plusieurs aventures amoureuses avant de rencontrer son grand amour : Philippe. Un jeune homme de vingt-deux ans qui était monteur de télévisions. Il gagnait bien sa vie. Jo et Philippe se sont rencontrés à l’hôpital quand Jo sortait avec le dernier poussin de la famille dans les bras. Peu à peu ils se sont aimés et à la fin de l’histoire, Jo s’est retrouvée enceinte de Philippe, et ils projetaient de vivre ensemble à Sarcelles qui semblait un lieu plus plaisant que Bagnolet.

la lecture

Lecture


La lecture est l’activité de compréhension d’une information écrite. Cette information est en général une représentation du langage sous forme des symboles identifiables par la vue, ou par le toucher (Braille). D’autres types de lecture ne s’appuient pas sur le langage par exemple celle de partitions de musique ou de pictogrammes.
D’autres acceptions du nom « lecture » ou du verbe « lire » s’« entendent » dans un sens plus large : lire les signes des temps.

Histoire

On pourrait penser que l’histoire de la lecture est la même que celle de l’écriture : on peut estimer que les premiers hiéroglyphes furent dessinés il y a 5 000 ans, les alphabets phonétiques les plus anciens ont environ 3 500 ans.
Pourtant, l’évolution des supports a également eu une grande influence. Les premiers ouvrages étaient écrits sur des rouleaux de papyrus enroulés en volumen dans un cylindre. Ils n’autorisaient donc qu’une vision partielle du texte à lire.
À partir du IIe siècle au IVe siècle, l’introduction du parchemin permet la rédaction des ouvrages en codex composés de feuilles pliées et cousues ensemble. Le livre ne subira alors pratiquement plus de modification de structure. Cette nouvelle présentation permet de consulter les ouvrages de façon moins linéaire : il devient possible de feuilleter pour accéder directement à un passage du texte.
Jusqu’aux environs du Xe siècle les mots étaient écrits les uns à la suite des autres, sans blancs ni ponctuation (scriptio continua) :
UNETELLEECRITURENEFAVORISEPASLADETECTIONRAPIDEDESMOTSETOBLIGEAUNDECHIFFREMENTLABORIEUXLETTREALETTREDESOUVRAGESLAVITESSEDELECTUREESTDONCTRESLENTE
La lecture à haute voix était quasi systématique. Si des textes datant du Ve siècle avant J.C. attestent que la lecture silencieuse était pratiquée en Grèce, elle resta probablement exceptionnelle pendant de longs siècles. Dans ses Confessions, Augustin d'Hippone relate sa stupéfaction quand il voit Ambroise de Milan pratiquer la lecture silencieuse. La lecture demeure une activité collective dans les milieux bourgeois jusqu’au milieu du XVIIIe siècle. Parmi les ouvriers, le roman-feuilleton continue d’être lu à voix haute jusqu’au lendemain de la Première guerre mondiale. En Europe, la lecture orale, parfois chantée ou psalmodiée occupe une place centrale aujourd’hui encore dans les cérémonies des religions juive, chrétienne et musulmane. La vitesse de parole permet de lire environ 9 000 mots à l’heure. Un pratiquant moyen de la lecture rapide (et donc silencieuse) est environ trois fois plus rapide.
Au cours du XIXe siècle, la plupart des pays occidentaux s’engagent dans l’alphabétisation de la population. Elle se généralise un peu plus tôt dans les pays de religion protestante, où chacun doit être capable de lire la Bible.

Principe physiologique
Le processus physiologique de la lecture a été étudié pour la première fois à la fin du XIXe siècle par Emile Javal, directeur du laboratoire d’ophtalmologie de l’université de la Sorbonne. La lecture n’est pas un balayage continu du texte mais une succession de photographies : pendant 250 millisecondes l’œil fixe un ensemble de lettres puis l’œil se déplace en 25 millisecondes vers un nouveau groupe de lettres. La vitesse de déplacement est relativement constante d’un individu à l’autre. Par contre, alors qu’un lecteur lent ne peut fixer que cinq à dix lettres, un bon lecteur peut fixer plus d’une vingtaine de lettres à la fois. Des mesures sur des lecteurs chinois, japonais ou arabes ont montré que l’alphabet utilisé n’avait pas d’influence majeure sur le mécanisme de la lecture.
La pause de l’œil lors de la « photographie » s’appelle un point de fixation. La mesure du nombre de lettres perçues simultanément est nommée l’empan.
L’apprentissage de la lecture
La lecture est un des apprentissages essentiels de l’école primaire avec l’écriture et les mathématiques, et le premier but de la scolarité obligatoire.
L’apprentissage de la lecture est un sujet qui a intéressé de nombreux pédagogues. Après des années de controverses, il semblerait qu’aucune des différentes méthodes d’apprentissage n’apporte un avantage décisif. Pour certains spécialistes, si leur influence est marginale c’est parce que dans aucune d’entre elles on ne retrouve ce qui constitue l’acte même de lire.



Techniques

Le repérage consiste à retrouver rapidement une information en se basant sur les ressources typographiques du texte. Il est particulièrement adapté aux ouvrages comme les dictionnaires ou les annuaires et aux textes avec un plan très hiérarchisé.
L'écrémage est lui utilisé quand la structure du texte n’est pas suffisamment marquée. Il consiste à lire le texte en diagonale en s’arrêtant sur les mots clefs porteur d’information.
La lecture rapide combine des stratégies appuyées sur la technique de l’« écrémage » et la lecture verticale de lignes entières saisies d’un seul coup d’œil chacune à leur tour. L’œil doit rester à une distance suffisante de la page.
La rapidité et la précision des mouvements de l’œil sont essentielles, c’est pourquoi l'oculométrie cognitive est utilisée pour l’étude des performances de lecteurs.

Illettrisme

Pendant longtemps, la lecture reste réservée à une élite.
Pour l’UNESCO, l’analphabétisme est l’incapacité de lire et d’écrire des textes simples en rapport avec la vie quotidienne. En 1980 on estimait que 30% de la population mondiale était analphabète. Dans les pays industrialisés, environ 4% de la population souffre d’illettrisme: bien qu’ayant appris à lire, ces personnes en ont progressivement perdu l’habitude. Toutefois, de nombreuses polémiques existent sur les critères définissant ces populations. Les chiffres peuvent varier du simple au triple. On restera donc prudent sur les estimations quantitatives. Le terme d'« illettrisme » a été crée en 1978 par l’association ATD Quart Monde afin de décrire la situation des personnes qui ayant pourtant été scolarisées, n’ont pas la capacité d’utiliser l’écrit d’une manière aisée. Ce terme est en concurrence avec celui d’alphabétisation fonctionnelle que l’on trouve hors des frontières françaises. Le terme de « littératie » prend actuellement une place plus importante. Il pose de manière explicite la question des capacités à traiter l’écrit dans « une économie de la connaissance ». Si la question de l’alphabétisation est portée par l’UNESCO, celle de la littératie est portée par l’OCDE.
On estime entre 10 et 14% la proportion de personnes âgées de 18 à 65 ans en difficulté de lecture en France (enquête Information et Vie Quotidienne de l'Insee). Ce "taux d'illettrisme" est beaucoup plus élevé que ceux des enquêtes de l'Insee d'il y a une dizaine d'années.
La dyslexie est un trouble fonctionnel de l’apprentissage de la lecture.

Lecture en peinture

L’histoire de la lecture se lit aussi à travers les œuvres de peintres qui nous offrent des scènes différentes et suggestives de l’acte de lire. On a des scènes de lecture individuelle, collective, semi-collective. Des scènes de lecture publique et privée. Ces tableaux dessinent des portraits différents des lecteurs et de leurs modes de lire. On peut aussi y trouver des lectorats féminins, masculins, mixtes ou encore qui appartiennent à plusieurs âges. La lecture à haute voix y apparaît comme l’image opposée de celle de la lecture silencieuse. Il suffit, par exemple, d’observer les tableaux ci-dessous pour distinguer des représentations différentes des lectrices et des modes de lecture.

jeudi 14 mai 2009

la mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans!!!

La mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans !
Euh, en fait, pas du tout, c'est plutôt au dessus que c'est dégueulasse, les touristes et certains autochtones n'ayant pas trop de scrupules à laisser leurs ordures partout où ils passent (bon, on m'a dit qu'il fallait voir le côté positif d'abord, la capote usagée là sur la plage, ça veut au moins dire qu'ils se sont protégés :-p).
J'adore les aquariums, le monde sous-marin me fascine. Partout où je vais je visite l'aquarium de la ville s'il y en a un. Hier j'ai eu l'occasion d'être dans l'aquarium, avec mon premier baptême de plongée sous-marine. Après quelques moments d'hésitation (s'habituer à respirer sous l'eau, apprendre à enlever l'eau qui envahissait tout le temps mon masque sans remonter fissa à la surface, gérer l'équilibre, éviter de foncer mains devant sur le gros oursin là-devant, etc.), j'ai pu passer une vingtaine de minutes sous l'eau à admirer le récif coralien et la faune sous-marine du Caillou — raie manta, murène, perroquets, loche, oursins diadème, holothuries, anémones et des dizaines d'autres espèces que ma mémoire de poisson rouge n'a pas retenu.
C'était sur l'îlot Amédée, au bord d'une réserve naturelle protégée peuplée principalement sur sa partie émergée d'oiseaux et de touristes japonais, où l'on peut également admirer le phare Amédée (style Napoléon III :D,
146 ans au compteur tout de même, dernier phare métallique français en existence). Mon homme dit qu'il a été livré là par erreur, à Port de France au lieu de Fort de France, mais je ne trouve pas trace d'un tel gag (au contraire, le phare semblait bien destiné à la Nouvelle-Calédonie), sinon qu'on a renommé quelques années plus tard Port de France en lui donnant le nom Kanak de Nouméa pour éviter la confusion postale avec la ville de Martinique.
Prochaine étape, passer les certifications nécessaires pour pouvoir plonger en binôme avec Eric, parce que les descriptions qu'il m'a fait des plongées ici font rêver, et parce qu'on voit toujours mieux les choses à deux que tout seul.